Géobiologue au CERGA

L’art du géobiologue

Le géobiologue détecte les phénomènes énergétiques qui perturbent les habitants d’un lieu et apporte une solution aux problèmes induits.

Pour la détection de ces phénomènes, le géobiologue utilise deux catégories d’appareils :

     – des instruments de radiesthésie spécifiques comme le lobe-antenne, les baguettes coudées, l’antenne de Lecher, ou plus traditionnels comme le pendule ou la baguette de sourcier.

     – des instruments de mesure normalisés pour la recherche de certaines perturbations : influences électriques ou magnétiques par exemple.

La pratique de la radiesthésie est pour la géobiologie le moyen le plus fiable et surtout le plus rapide pour appréhender la réalité subtile recherchée. Au delà de ses aspects mystérieux, la radiesthésie se fonde sur l’aptitude naturelle de chacun à ressentir les phénomènes énergétiques ; cette capacité innée est développée consciemment et utilisée par les sourciers dans leur recherche de l’eau souterraine (1).

La faculté d’appréhender les influences des divers phénomènes telluriques s’acquiert par un apprentissage quotidien, spécifique et rigoureux. Il nécessite de la part de l’apprenant une bonne dose de volonté et de patience,  beaucoup de travail, une personne pour le guider ainsi que des références sérieuses. Ressentir est une chose, discerner et quantifier en est une autre. Nous constatons aujourd’hui avec regret que certaines personnes estiment avoir les compétences d’un géobiologue alors que leurs expériences et leurs connaissances peuvent s’avérer très limitées.La pratique de la géobiologie demande également une grande ouverture d’esprit et un sens prononcé de l’échange dans les relations humaines.

Et enfin, au CERGA, dans le respect de l’environnement et des forces naturelles, le géobiologue, n’intervient et n’agit que sur les  phénomènes qui perturbent les personnes, les animaux ou les plantes du lieu pris en compte.

(1) Chacun possède une aptitude naturelle à ressentir les phénomènes telluriques ainsi que le confirme notre expérience au CERGA. Ainsi, dans un stage de deux jours où nous enseignons les techniques de détection, nous constatons, par exemple, que tous les stagiaires sont capables de détecter l’eau à la fin du second jour si ce n’est du premier.